mardi 30 septembre 2008

taggalaxy.de

Pour la recherche de photos et d'image, il y a bien-sûr Google Images. 
Pour chercher de façon rapide et ludique dans les photos de Flickr, je vous recommande l'utilisation de taggalaxy.de.  A partir d'un simple Tag (dans l'exemple ci-dessous France), taggalaxy vous proposera un ensemble de tags connectés, puis une fois le tag définitif retenu (Paris), un ensemble de photos sur une sphère.





 C'est à la fois ludique et rapide pour choisir une photo. En cliquant sur la photo, il est possible d'ouvrir la page de présentation Flickr associée, ce qui permet notamment de voire la license associée à la photo et d'entrer en contact avec le photographe.


lundi 29 septembre 2008

dimanche 28 septembre 2008

Recherche d'informations

Encore une vidéo de Lee LeFever de Common Craft. Au menu d'aujourd'hui, la recherche d'informations sur le Web...

samedi 27 septembre 2008

Blogs

Le blog est un média à part entière qui permet, à chaque internaute, de créer facilement son canal de diffusion d'informations, qu'il s'agisse de textes, d'images, de photographies, de vidéos, de présentations, etc.

Comme nous dit Lee Lefever, une idée suffit !



Mon idée pour ce blog, est simplement d'aborder le Web, en évitant les discussions techniques sur les outils et en centrant l'analyse sur les nouveaux usages... Au fond l'idée c'est de répondre à la question : "A quoi sert le Web ?"

Et vous avez-vous un blog ? Si oui, sur quelle idée l'avez-vous initié et êtes-vous resté(e) fidèle à cette idée de départ ?

jeudi 25 septembre 2008

Google Chrome

Je vous conseille de tester Chrome, le nouveau navigateur de Google.

J'ai apprécié :
- son design très épuré - façon Google, 
- sa barre d'onglet affichée dans la barre de titre, pratique pour gagner une ligne d'écran,
- l'affichage dans chaque nouvel onglet, des sites les plus visités et des favoris les plus récents.

Interview pour Marketae

J'ai répondu à une interview que je vous invite à découvrir sur le blog de Marketae.

mercredi 24 septembre 2008

Le saviez-vous ?

Voici une version sous-titrée en français de l'excellent "Did you know ?" de Karl Fisch, Scott McLeod.
Il s'agit d'une version de juillet 2007, comportant des statistiques actualisées par rapport à la première version.

A méditer... et à commenter bien-sûr !

lundi 22 septembre 2008

Google Story




Lorsque, l'on parcourt assidûment les multiples territoires du web, le recours à Google et à certains de ses services associés devient vite un leitmotiv.

Pour ma part, en plus de la recherche Google, j'utilise également très fréquemment :

  • Gmail, pour son webmail accessible de partout, pour la centralisation de toutes mes boîtes aux lettres, pour l'archivage des mails et la recherche dans ces archives,G
  • Google Image pour la recherche d'images,
  • YouTube pour la recherche de vidéos,
  • Google Maps pour la recherche de plans d'accès,
  • Google Alerts pour être alerté des nouveautés sur mes sujets favoris,
  • Google Reader pour être alerté des nouveaux billets parus sur mes blogs favoris,
  • Blogger, pour la rédaction de ces billets,
  • Google Analytics pour l'analyse des visites,
  • Google AdSense, pour la publication de liens commerciaux contextuels,
  • FeedBurner, pour le comptage des abonnés aux flux RSS de mon blog.

J'utilise aussi plusieurs fois par semaine des outils Google directement installés sur mon ordinateur :

  • Google Toolbar notamment pour sa barre de favoris accessibles de partout et pour l'affichage du PageRank,
  • Gmail notifier pour visualiser les nouveaux mails sans quitter la fenêtre active,
  • Google Desktop Search pour la recherche des informations stockées sur mon ordinateur,
  • Chrome pour la navigation rapide et sans fioriture sur le web.

Et les autres outils de Google ? En fait, j'en ai testé beaucoup mais pour l'instant je ne peux pas dire que j'en fais un usage fréquent.

J'ai dénombré ici pas moins de 15 outils Google que j'utilise chaque jour ou chaque semaine. Tous ces outils ont un point commun… et oui, ils sont gratuits pour l'internaute ! Et pourtant, ils permettent à Google de générer des milliards de dollars de chiffre d'affaires, grâce aux clics sur les liens commerciaux affichés.

Désireux d'en savoir plus, je suis parti à la recherche d'un livre qui décrive l'histoire de Google et les raisons de son succès. Après quelques lectures décevantes, j'ai enfin trouvé cet ouvrage ! Il s'intitule "Google story" par David A. Vise et Mark Malseed du Washington Post. Il s'agit là d'un récit extrêmement bien détaillé sur la spectaculaire ascension de Google. Dès l'introduction, on y comprend que l'accès à l'information, rendu possible grâce à l'imprimerie est aujourd'hui facilité par Google.

L'histoire commence avec la rencontre des fondateurs Larry Page et Sergey Brin en 1995. Ensuite, vient la création de Google en 1997 et la création de l'algorithme PageRank, qui permet d'établir l'importance d'un site, à partir du nombre et de l'importance des différents sites qui ont établis un lien vers lui. La participation des business angels et des sociétés de capital risque est également abondamment décrite.

L'esprit Google est aussi raconté à travers les virées à Burning Man, la culture d'entreprise, l'importance accordée au fun dans les lieux comme dans les relations de travail.

Toutes les étapes du succès sont expliquées, l'arrivée du PDG Eric Schmidt, Gmail, l'introduction en bourse, le Googleplex, Google Earth, la numérisation des bibliothèques, la lutte contre microsoft, les succès financiers éblouissants, la lutte contre la fraude aux clics, la conquête de la chine, la recherche génétique,…

Au final, un livre facile à lire, passionnant, et qui permet de comprendre Google de l'intérieur. A découvrir…

Social Bookmarking

Après un premier billet sur delicious, voici une nouvelle explication proposée par Lee LeFever.



Etes-vous un utilisateur du social bookmarking ? Si oui (ou sinon) pourquoi ?

Déjà utilisateur ou envie de le devenir, retrouvez mon bookmark sur Delicious et échangeons nos bonnes adresses...

dimanche 21 septembre 2008

Google Docs

Google Docs permet le travail collaboratif sur les documents et leur stockage sur internet en un seul endroit.




Pour l'instant, j'ai fais quelques tests pour voir, mais je n'ai pas encore utilisé cet outil en collaboration au sein d'une équipe.
Et vous quelles sont vos expériences avec Google Docs ?

samedi 20 septembre 2008

Wiki

En 2004, j'ai travaillé pour une grande banque internationale qui avait mis en place un wiki pour le partage des informations, des documents et des développements informatiques. J'ai trouvé cela très pratique, notamment pour partager du contenu avec des équipes réparties sur le globe en étant sûr de disposer toujours de la version la plus à jour.

Le wiki est aussi un outil adéquat pour un travail collaboratif... 

vendredi 19 septembre 2008

Le travailleur productif

Après Charlie, je vous invite à rencontrer David et Jessica, qui définissent par l'exemple le travailleur productif de l'entreprise 2.0.

Je pense que cette vision n'est pas loin de la réalité.
Les nouveaux outils que sont les blogs, les wiki, les messageries instantannées, les microblogs, les réseaux sociaux professionnels, les flux RSS, les outils de partage de photos ou de partage de favoris... permettent, si ils sont bien utilisés, des gains de productivité substantiels.

Ces outils concourent aussi à estomper la frontière entre vie personnelle et la vie professionnelle, en renforçant la possibilité d'accèder à l'information quelle soit personnelle, professionnelle ou les deux, en tout lieu et à toute heure du jour et de la nuit...

Et vous, où en êtes vous dans l'adoption de ces nouveaux outils ? A titre personnel et à titre professionnel ? Travaillez vous pour une entreprise 2.0 ? Avez vous le sentiment d'être plus ou moins productif grâce à Internet et au Web 2.0 ?

jeudi 18 septembre 2008

Le réseautage

A quoi sert le réseautage ?
La réponse tout en image...


Pour décortiquer les nouveaux usages du Web, je me suis inscris à de nombreux réseaux sociaux : Viadeo, LinkedIn, Facebook, Ziki, Plaxo, 6nergies. Vous pouvez m'envoyer vos demandes de mises en relation sur ces différents réseaux en utilisant la rubriques "Rejoignez moi ici ou là" de ce blog.

Voyons plus en détails un exemple d'utilisation efficace des réseaux sociaux avec LinkedIn :



De plus en plus, on voit poindre une nouvelle tendance, le social everywhere, des sites comme Netvibes, Flickr, Deezer, vous invitent eux-aussi à échanger avec vos amis... 

Que pensez-vous de la nouvelle tendance qui constitue à multiplier les réseaux sociaux ? Souhaitez-vous multiplier les profils et les connexions sur une multitude d'outils ou au contraire sélectionner et rationnaliser le plus possible ? Au fond, avez vous fait un choix entre qualitatif et quantitatif ?

mercredi 17 septembre 2008

Lecteur de flux RSS

Il est très facile de s'abonner à des flux d'informations (RSS) avec un lecteur de flux comme Google Reader :


J'utilise Google Reader au quotidien et franchement cet outil est on ne peut plus facile à utiliser.
Je l'utilise aussi sous forme d'une petite fenêtre (i.e. widget) dans ma version personnalisée de Google (iGoogle). Ainsi au détour d'une recherche sur le web, je consulte également les derniers billets parus sur mes blogs favoris. Encore une fois, c'est le réglage qui est délicat. Je me limite donc à une 15 à 20 blogs maximum et je suis sans pitié avec ceux qui sont trop bavards ou trop peu originaux...

Et vous utilisez-vous un lecture de flux ? Lequel  ? Comment ? Quelle est votre stratégie pour suivre les blogs que vous aimez ? 

lundi 15 septembre 2008

Creative Commons

Sur ce blog, on trouve en pied de page la mention "All under Creative Commons License BY NC SA".

Qu'est-ce qui se cache derrière cette licence :





Et vous, avez-vous pensé à protéger vos productions par une license ?

Le phénomène Twitter

Revenons sur le phénomène Twitter qui fait de plus en plus d'émules.
D'abord comment fonctionne Twitter :



Voici une présentation de Twitter et de ses différents usages :
Je me suis récemment amusé à tester quelques uns de ces outils de microblogging :
Pour cela je me suis inscrit sur Twitter, Plurk, Identi.ca.
Ma première conclusion est que comme d'habitude, il n'y a pas d'outil magique : pour que tout cela ne se transforme pas en "perte de temps 2.0", il est important de définir, si possible à l'avance, pourquoi on s'inscrit à ce type d'outil, ce qu'on veut y faire passer comme message, à qui, etc.
 
Pas si évident que cela sur Twitter...  où l'on a tendance à vouloir suivre les propos de trop de gens ce qui au final se traduit par un déluge de babillages (Tweets) impossible à suivre !

Sur Twitter vous pouvez vous mettre en relation avec moi, via le lien suivant http://twitter.com/EmmanuelGadenne

Et vous avez vous essayé les outils de microblogging et qu'en avez vous pensé ?

dimanche 14 septembre 2008

demande en mariage 2.0




Voici un nouvel usage du web auquel je n'avais pas pensé : la demande en mariage 2.0. Celle-ci est même figée dans le marbre virtuel grâce aux prises de vues de Google Street View, service complémentaire à Google Maps.



vendredi 12 septembre 2008

Mail connexion



Le mail est la plus grande invention dans le monde de la communication personnelle depuis le téléphone. Le nombre de mails échangés a été multiplié par 10 entre 2000 et 2005.

Dans un ouvrage intitulé "mail connexion, la conversation planétaire", Cécile Moulard décrit les usages liés à l'e-mail. Elle revient sur l'histoire du mail, inventé par Ray Tomlinson dès 1971, à l'époque d'Arpanet l'ancêtre du réseau Internet.

Elle explique les lois du réseau : l'attrait d'un réseau croit proportionnellement au carré du nombre de ses membres. Cécile Moulard décrit également ce qu'est la base digitale de chaque internaute : il s'agit de sa présence sur internet... cela comprend son ou ses adresses électroniques, sa toile de relations, son ou ses blogs...

Les fournisseurs de mails sont décrits en détails ainsi que la signification des différentes types d'adresse électroniques rencontrées.

De nombreuses aventures arrivées à des e-mailers imprudents sont relatées (ex. Claire Swire, David Hirschmann). Plus généralement, l'auteur décrit les cas où il faut s'abstenir de faire un mail.

Au final un ouvrage qui fait le tour de la question... à recommander à tous ceux qui ont un e-mail et qui veulent s'en servir au mieux.

mercredi 10 septembre 2008

Marketae



Aujourd'hui j'ai le plaisir d'interviewer Jonathan Gotheil, qui est chargé de Marketing Opérationnel et communication chez Marketae.

Webusage.net : Tout d'abord, comment peut-on définir Marketae ? En particulier, à quels besoins répond ce site internet ? Quels peuvent en être les usages ? Et comment Marketae se démarque des sites de réseaux sociaux qui fleurissent depuis l'avènement du Web 2.0 ?

Jonathan Gotheil : Marketae.com est une plateforme de mise en relation commerciale BtoB et de référencement. Nous avons donc créé cet outil dans le but de faire des rencontres profitables sur le net.

Le site permet aux entreprises de faire du sourcing ou de la prospection facilement à travers un carnet d’adresse de contacts business qu’ils forment et avec lequel ils peuvent dialoguer et évaluer leurs prestations respectives.

Individus et business sont indissociables, c’est là que Marketae fonde toute sa différence par rapport à ses principaux concurrents, nous plaçons le contact humain au centre de tout échange commercial. Chaque utilisateur de Marketae Dispose d’une « business page » qui rassemble des informations sur la personne en elle-même et aussi sur sa société.

Webusage.net : Depuis combien de temps existe ce site ? Comment se passe le démarrage du site ? Ce site est-il déjà disponible en plusieurs langues ?

Jonathan Gotheil : Le concept de Marketae date de début 2005, la société de Décembre 2006. Le site a été mis en ligne en mai 2007. Il compte déjà plus de 110 000 inscrits.

Notre siège se situe à Lyon mais nous avons aussi des collaborateurs à Paris et Seattle. Nos projets internationaux nous mènent tant en Inde qu’aux Etats-Unis.

Pour ce qui est des langues, nous travaillons actuellement à la finalisation de la version Anglaise. Nous avons aussi commencé à travailler sur une version Allemande. La plateforme est modulable et est prête à recevoir de nombreuses autres langues, dont les langues Asiatiques.

Webusage.net : Concrètement que doit faire l'internaute pour profiter pleinement de ce site ? Est-il gratuit ? Est-il réservé à certaines catégories d'utilisateurs (commerciaux, acheteurs...) ?

Jonathan Gotheil : L’inscription est offerte pendant 2 mois pour tout le monde. Ensuite, elle est payante pour les vendeurs, mais reste gratuite pour les acheteurs. Le but de Marketae étant de faciliter les échanges commerciaux, la plateforme est donc naturellement orientée vers les professionnels plutôt que le grand public.

Webusage.net : Marketae utilise beaucoup son blog pour communiquer. Comment ce support de communication sert-il les intérêts de Marketae ?

Jonathan Gotheil : Notre blog est une mine d’informations pour les professionnels du marketing et de la communication. Nous rédigeons régulièrement des articles sur l’actualité économique qui touchent à nos domaines de compétences, comme le BtoB, le web 2.0, et l’économie numérique. Nous intégrons régulièrement des citations et vidéos orientées business ainsi que des conseils pour l’utilisation de Marketae. Ce support nous permet donc d’attirer de nouveaux professionnels à la recherche d’un outil performant pour gérer leurs contacts business via un réseau vivant et évolutif.

mardi 9 septembre 2008

Diffuser ses créations

Le web est aussi un excellent moyen de diffuser ses créations...
Il n'y a qu'à faire un détour par YouTube pour s'en convaincre :

dimanche 7 septembre 2008

PermutJob



Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'interviewer Sandrine Levy, qui est co-fondatrice de PermutJob.com.

Webusage.net : Bonjour Sandrine et merci d'accepter de répondre à mes questions...
A quels besoins répond PermutJob ? A qui s'adresse ce site et pour y faire quoi ? Comment définirais-tu ce site web ? Pourquoi les internautes viennent sur PermutJob et qu'est-ce qu'ils y trouvent qu'ils ne trouvent pas ailleurs ?

Sandrine Levy : bonjour et merci à Webusage de réserver un espace à PermutJob.
Permutjob a été créé pour répondre à 2 besoins essentiellement, celui des familles qui désirent réduire leurs dépenses, à l'heure ou les carburants sont si chers, et celui de l'environnement pour oeuvrer dans le sens du développement durable, pour moins de pollution.
Ce site s'adresse à tous les actifs qui travaillent loin de chez eux et qui en ont assez de perdre du temps et de l'argent dans les transports. Permutjob va permettre à tous ces internautes, à qualifications égales, de rentrer en contact pour un éventuel échange de lieu de travail.
Permutjob, 1ère plateforme d'échange de lieu de travail est par définition un site pour échanger son emploi, ceci dans le but d'améliorer la qualité de vie de ses utilisateurs, tout en leur permettant de réaliser de nombreuses économies. En effet en travaillant plus près de son domicile, on gagne du temps pour les loisirs, la famille..., on réduit les risques d'accident, de contravention, de retrait de point ou de permis et surtout on diminue les frais liés au carburant, au péage...
Les internautes viennent sur le site car ils désirent, pour diverses raisons (déménagement, rapprochement du domicile, mutation du conjoint, changement de région ou de pays...), changer de lieu de travail. Sur Permutjob ils ont la possibilité de rédiger une annonce dans laquelle ils renseignent le lieu de leur emploi actuel et formulent le lieu de l'emploi désiré. C'est ainsi que le site a la particularité de recenser des postes prochainement disponibles, contrairement aux autres sites d'annonces qui ne recensent que des postes vacants.

Webusage.net : Depuis combien de temps existe PermutJob ? Comment se développe l'audience ? Quels sont les services gratuits et quelles sont les différentes sources de revenus ? Le site est-il déjà profitable, et sinon quand le sera-t'il ?

Sandrine Levy : PermutJob a été lancé officiellement le 25 février 2008.
L'audience est régulière, nous avons des visites du monde entier. Il y a eu quelques pics de connexion au lancement puis lors d'une parution dans notre journal local "Nice Matin" et après un passage sur la chaîne télévisée Direct 8, dans l'émission "Facile la vie" rubrique "Cyber simple". Je dirais que ça évolue petit à petit mais sûrement.
Sur Permutjob l'inscription et le passage d'annonce pour les particuliers sont gratuits. Une option leur est proposée pour seulement 12 € par an, pour leur éviter de rechercher eux mêmes les annonces d'échanges correspondant à leur souhait.
Pour les professionnels l'inscription est également gratuite et le passage d'annonce est payant. Nous leur proposons des tarifs préférentiels en fonction du nombre d'annonces passées et de leur durée de parution.
Le site n'est pas encore profitable car nous sommes encore en phase de développement. Nous avons pour objectif de générer un maximum de trafic sur PermutJob, tout d'abord dans le but de le faire connaître au plus grand nombre de personne, puis afin d'obtenir de nombreuses inscriptions et annonces qui permettront d'élargir les possibilités d'échanges.

Webusage.net : Comment PermutJob fidélise les internautes, quelles sont les stratégie de communication déployées pour développer et fidéliser l'audience ?
Et toi, comment participe-tu à ces actions de communication et de promotion ?


Sandrine Levy : PermutJob a lancé en juin dernier et ce jusqu'au 6 septembre une offre promotionnelle pour la publication d'annonces d'offre d'emploi, dans le but d'étoffer sa base de donnée. Cette offre va être reconduite jusqu'à la fin de l'année 2008.
Jusqu'alors nous avons été très présents sur différents sites et forums pour parler de PermutJob, mais à chacun son métier... Nous avons donc fait appel à des professionnels qui, en ce moment, mènent une campagne publicitaire et ce pour une durée de 3 mois. Nous sommes confiants et enthousiastes, l'avenir de PermutJob s'annonce positif...

J'ai été ravie de répondre à toutes ces questions et vous remercie encore pour votre accueil.

samedi 6 septembre 2008

Les soirées réseaux

Parmi les nouveaux usages du web, le réseautage occupe une place de premier ordre. Pour développer son réseau in real life, on peut aussi recourir aux soirées réseau. 
Mais il est nécessaire de bien préparer ces soirées réseaux et de maîtriser les techniques de présentation et de réseautage,  comme l'explique Olivier Luisetti dans la vidéo ci-dessous : 

jeudi 4 septembre 2008

Le BuzzQuotidien ? mobuzz.tv




J'ai le plaisir d'interviewer Osiris Martinez qui est l'animatrice de la version francophone de mobuzz.tv


Webusage.net : Bonjour Osiris... A quels besoins répond mobuzz.tv ? Comment définirais-tu ce site web ? Pourquoi les internautes viennent sur mobuzz.tv et qu'est-ce qu'ils y trouvent qu'ils ne trouvent pas ailleurs ?


Osiris Martinez : MobuzzTV est une chaîne de télévision on-line qui propose différentes émissions quotidiennes d'environ 5 minutes, en plusieurs langues (Anglais, Français, Espagnol) et chacune porte sur un sujet spécifique : les nouvelles technologies, les actualités, potins ... Je pense que ce qui différencie Mobuzz des autres sites, c'est justement à la fois cette diversité, mais aussi un format pratique, court, et visible sur des tas de dispositifs différents, ce qui est extrêmement intéressant... Mise a part cela, il y a cette aspect "2.0" qui nous différencie de la télévision "traditionnelle", puisque Mobuzz possède une véritable communauté, qui est libre de participer et de commenter.

Webusage.net : Comment sont retenus les différents sujets traités ? Quels sont les choix de mobuzz.tv en matière de ligne éditoriale et de ton ?

Osiris Martinez : Et bien pour ce qui est des sujets, nous avons des réunions éditoriales tous les matins. Nous choisissons les news qui nous semblent les plus intéressantes et à la fois attrayantes, amusantes. Pour ce qui est du ton, disons que je lui donne celui qui me correspond, à moi en tant que personne... Un ton un peu critique et à la fois léger (étrange façon de me définir nan? lol)

Webusage.net : Depuis combien de temps existe mobuzz.tv ? Et toi depuis combien de temps participe-tu à cette aventure ? Combien de personnes y travaillent ?

Osiris Martinez : MobuzzTv est né il y a trois ans. Moi ça fait tout juste un an et un mois que je participe à l'aventure. Au jour d'aujourd'hui, nous sommes 15 personnes a travailler ici.

Webusage.net : Comment se développe l'audience ? Quelles sont les différentes sources de revenus ? Le site est-il déjà profitable, et sinon quand le sera t’il ?

Osiris Martinez : L'audience est en pleine croissance... D'ailleurs, pour ce qui est de lebuzz, elle a simplement doublé au cours des 2 deux derniers mois. En ce qui concerne les sources de revenus, étant une société privée, nos résultats ne sont pas publics, même si que tout ce que je peux vous dire, c'est que, tout comme l'audience, les revenus sont aussi en pleine croissance.

Webusage.net : Comment Mobuzz.tv fidélise les internautes, quelles sont les stratégie de communication déployées pour développer et fidéliser l'audience ? En tant qu'animatrice de la version francophone, quel est ton rôle au niveau de la promotion et de l'animation ?

Osiris Martinez : Pour ce qui est de l'audience, disons qu'elle se fidélise un peu toute seule, je ne pense pas qu'on puisse réellement contrôler cela... Mais la communauté, dont je te parlai au début est, me semble t'il, un bon moyen de "fidélisation". Je pense que les gens aiment participer, qu'on les nomme dans nos émissions et qu'on les écoute et réponde, dans la mesure du possible, à leurs attentes, qui nous parviennent à travers leurs commentaires ou les vidéos et news qu'ils nous envoient. En tant qu'animatrice, je fais tout ce que je peux pour promouvoir l'émission : commentaires dans d'autres blogs afin de nous faire émission, réponse aux auditeurs qui nous contactent, etc.

Webusage.net : Osiris Martinez merci beaucoup d'avoir accepté de répondre à mes questions. Ici sur webusage.net, on est des grands fans de cette chaîne de télévision on-line consacrée à l'internet et aux nouvelles technologies. On n'hésite pas de temps en temps à vous proposer des vidéos issus de mobuzz.tv. Et pour ne rien manquer, on vous encourage à faire comme nous... c'est-à-dire à ne rater sous aucun prétexte votre "dose du jour" ;-) !

lundi 1 septembre 2008

Babel 2.0



Aujourd'hui j'ai le plaisir d'interviewer Mathieu Marechal, qui est directeur et fondateur de tradonline.fr.

Webusage.net : "Mathieu Marechal bonjour... et merci d'avoir accepté de répondre à mes questions. A quels besoins répond Trad Online ? Quels types de clients s'adressent à vous ? Quels types de documents peut-on y faire traduire ? En quelles langues ? Et pourquoi faire appel à vous plutôt que de chercher directement son propre traducteur ?
"

Mathieu Marechal : "Bonjour Emmanuel. Trad Online est d’une part fournisseur de services linguistiques classiques, ce qui couvre la traduction écrite (plaquettes commerciales, contrats, sites Web, notices techniques, etc.), les missions d’interprétariat et des formations en anglais professionnel, mais d’autre part, nous essayons aussi d’être un acteur innovant sur un secteur plutôt suiveur en termes de technologie et d’offre.
Trad Online a ainsi par exemple mis en place un back-office de traduction dédié, online, pour un de nos plus gros clients, ce qui lui permet de déposer des demandes de traduction en ligne, dans 1 à 12 langues au choix, sous un grand nombre de formats, et d’en récupérer une traduction professionnelle de manière très réactive (du jour au lendemain en général). Outre l’avantage de productivité de ce flux existe aussi un avantage indéniable supplémentaire : les traductions peuvent faire aussi bien 5 mots que 500 ou 2000, aucun minimum de facturation n’est exigé.
Au-delà, nous avons mis en place l’un des tout premiers sites de traduction de CV (tradonline-cv.com), qui marche très fort depuis plus de 2 ans, un service de traduction d’emails, nous proposons aussi de la traduction de blog, des packs de traduction (achat de 5.000 ou 10.000 mots à l’avance à prix dégressif, permettant une consommation au fil de l’eau de la part du client, de manière à ne pas perdre de temps à chaque commande si elles sont fréquentes). Bref, nous sommes à la disposition de nos clients pour traduire ce qu’il y a à traduire, essayons d’anticiper leurs besoins et toujours en fournissant un niveau de qualité professionnel.
Nos clients sont pour la plupart français, en majorité des PME (tous secteurs d’activité) mais 75% du volume d’affaires de Trad Online est réalisé avec nos clients de plus grosse taille (une petite dizaine).
Nous avons également des clients et partenaires issus du Web, Meetic étant la principale référence mais aussi Viadeo, mypronostic et plusieurs autres start-ups.
Concernant les langues, nous traduisons aujourd’hui du français/anglais vers une quinzaine des principales langues Européennes et nous lançons une offre spécifique de traduction de et vers le chinois (mandarin), offre pour laquelle nous avons une présence locale en Chine et des prestations particulières. Je précise cependant qu’afin d’offrir un panel plus large à nos clients, nous avons identifié et travaillons avec des agences couvrant d’autres langues Asiatiques ainsi que les langues d’Europe de l’Est.
Pour répondre à votre dernière question, celle du passage par un traducteur en direct, de nombreuses raisons s’opposent à une telle décision dans le cadre d’un besoin de traduction professionnelle : le coût de sélection/recrutement et en cours de projet, le coût de gestion/suivi du ou des traducteurs qui n’existent pas en passant par une agence, les avantages de structure (pas de rupture de service pendant les périodes de vacances, disponibilité et réactivité bien plus élevées, qualité et fiabilité plus importantes)… Et enfin la possibilité d’avoir accès à toute une gamme d’autres services (autres langues, mise en page, rédaction, etc.), de manière centralisée avec un prestataire interlocuteur de tous les besoins."

Webusage.net : "Depuis combien de temps existe Trad Online ? Comment et pourquoi cette start-up a-t'elle été fondée ? Comment se passe les premières années d'exercice ? Trad Online est-elle d’ors et déjà une société rentable ?"

Mathieu Marechal : "Trad Online est devenue une SARL en février 2008 et était une activité sous forme de micro-entreprise depuis 2001 (j’étais encore étudiant à l’époque). Nous avons largement dépassé nos objectifs de CA en 2007, ce qui a déclenché la décision de passer en structure « société ». Cette idée de passer à la vitesse supérieure me titillait cependant depuis 2005/2006 environ.
Mes motivations pour la création d’entreprise étaient diverses : souhait de créer et apporter de la nouveauté, d’être indépendant, l’intérêt et la multiplication des activités, etc.
Trad Online est en effet rentable, nous générons suffisamment de chiffre d’affaires pour rémunérer un salarié et une chef de projet freelance et n’avons que peu de frais fixes, ce qui fait partie intégrante de notre business plan. Nous avons donc assez de cash-flow pour envisager sereinement notre développement à l’international avec une ouverture en Italie à la rentrée 2008 et une agence en Pologne dès 2009, ainsi que la consolidation de notre cœur d’activité (traduction écrite), le développement de l’interprétariat, le lancement d’un nouveau site très innovant (secret pour l’instant :-)) et plein d’autres projets."

Webusage.net : "Pourquoi avoir choisi le recours massif au on-line ? Comment utilisez-vous le web pour vous faire connaître, pour prospecter des futurs clients, pour délivrer vos prestations de traduction, pour fidéliser vos clients, etc. ?"

Mathieu Marechal : "En effet, nous utilisons de manière intensive les réseaux professionnels et le webmarketing pour développer notre image et notre activité.
Nous sommes présents sur la plupart des réseaux sociaux et professionnels, principalement Viadeo, Linkedin et Xing. Nous mettons aussi en place du buzz sur Facebook en ce moment, dont un jeu-concours amusant ! Nous misons également sur la publicité en ligne (vidéo et texte) pour développer notre visibilité, et préparons de nouvelles actions de buzz innovantes à la fois sur le Web et offline. Voilà pour le côté buzz, visibilité et donc acquisition clients.
Pour les aspects de service rendu au client, ils ne sont pas en reste : nous avons l’ambition d’ici à fin 2008 de développer l’espace client (et notre espace de gestion de projet) online existant pour fournir un site espace client, simple et intuitif, disponible à tous nos clients pour gérer leur projets de traduction, factures, etc.
Le web, via les réseaux, le mailing, la diffusion d’informations par blog, nous permet aussi d’être au contact de nos clients et partenaires de manière régulière, sans bien entendu que cela ne puisse remplacer un contact physique pour les décisions et projets importants."